Dimanche, toute la Tunisie aura les yeux rivés sur
Sousse où le leader, l'Etoile du Sahel, reçoit son dauphin l'Espérance
de Tunis, tenant du titre. L'entraîneur tunisois Faouzi Benzarti est
confiant (Photo Presse-Sports).
«Comment avez-vous vécu les trois semaines de repos forcé ?
La
trêve a été salutaire. Nous n'avons pas souffert des effets secondaires
du mois de Ramadhan. Elle nous a permis de remédier à certaines lacunes
sur le plan défensif constatées durant les cinq journées du
championnat. Durant les matches amicaux, les nouveaux venus,
l'international ghanéen Harrison Afful et Syam Ben Youssef, issu du
centre de formation de Bastia, ont beaucoup travaillé pour arriver à
une parfaite complémentarité.
Le feu est au vert contre l'Etoile du Sahel, votre ancien club ?
Effectivement.
Mais pour l'Espérance, il s'agit d'un match ordinaire et non d'un
objectif. Le championnat est encore long et nous nous préparons surtout
pour la Ligue Africaine des champions. En revanche, l'avantage du
terrain n'est pas un handicap puisque la saison passée nous avons
ramené les trois points à la maison. Nous sommes confiants : l'équipe a
une moyenne d'âge de 21 ans et elle saura combler son manque
d'expérience par une qualité de jeu susceptible de lui permettre de
s'imposer.
Quant vous parlez de jeunesse vous pensez-vous à Oussama Darragi, le nouveau prodige et héros d'Abuja ?
C'est
un attaquant talentueux qui à bien des égards nous rappelle Yacine
Chikaoui (Zurich). Il pèse sur les défenses et reste dangereux jusqu'à
la dernière minute comme il l'a prouvé à Abuja contre le Nigeria (2-2).
Il est promis à un bel avenir s'il persévère. Mais il y a aussi son
compère de l'équipe nationale Youssef Msakni, le nigérian Michael
Eneramo et le camerounais Henri Bienvenu ...
Que pensez-vous du parcours des Aigles de Carthage en CM-CAN ?
Il
est correct. Les Aigles ont ramené un excellent résultat d'Abuja contre
le Nigeria (2-2). Il leur appartient maintenant de bien gérer la suite
de la compétition. Ils ont tous les atouts en main pour assurer une
quatrième troisième présence consécutive à une Coupe du monde. Et
croyez-moi, tous les tunisiens sont derrière eux».
Source
Sousse où le leader, l'Etoile du Sahel, reçoit son dauphin l'Espérance
de Tunis, tenant du titre. L'entraîneur tunisois Faouzi Benzarti est
confiant (Photo Presse-Sports).
«Comment avez-vous vécu les trois semaines de repos forcé ?
La
trêve a été salutaire. Nous n'avons pas souffert des effets secondaires
du mois de Ramadhan. Elle nous a permis de remédier à certaines lacunes
sur le plan défensif constatées durant les cinq journées du
championnat. Durant les matches amicaux, les nouveaux venus,
l'international ghanéen Harrison Afful et Syam Ben Youssef, issu du
centre de formation de Bastia, ont beaucoup travaillé pour arriver à
une parfaite complémentarité.
Le feu est au vert contre l'Etoile du Sahel, votre ancien club ?
Effectivement.
Mais pour l'Espérance, il s'agit d'un match ordinaire et non d'un
objectif. Le championnat est encore long et nous nous préparons surtout
pour la Ligue Africaine des champions. En revanche, l'avantage du
terrain n'est pas un handicap puisque la saison passée nous avons
ramené les trois points à la maison. Nous sommes confiants : l'équipe a
une moyenne d'âge de 21 ans et elle saura combler son manque
d'expérience par une qualité de jeu susceptible de lui permettre de
s'imposer.
Quant vous parlez de jeunesse vous pensez-vous à Oussama Darragi, le nouveau prodige et héros d'Abuja ?
C'est
un attaquant talentueux qui à bien des égards nous rappelle Yacine
Chikaoui (Zurich). Il pèse sur les défenses et reste dangereux jusqu'à
la dernière minute comme il l'a prouvé à Abuja contre le Nigeria (2-2).
Il est promis à un bel avenir s'il persévère. Mais il y a aussi son
compère de l'équipe nationale Youssef Msakni, le nigérian Michael
Eneramo et le camerounais Henri Bienvenu ...
Que pensez-vous du parcours des Aigles de Carthage en CM-CAN ?
Il
est correct. Les Aigles ont ramené un excellent résultat d'Abuja contre
le Nigeria (2-2). Il leur appartient maintenant de bien gérer la suite
de la compétition. Ils ont tous les atouts en main pour assurer une
quatrième troisième présence consécutive à une Coupe du monde. Et
croyez-moi, tous les tunisiens sont derrière eux».
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